Top articles
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Le grand bond en avant.
Angelo, notre aîné, vient de franchir une première étape importante de sa vie : hier matin, à exactement 8 heures 30, heure de Pékin, il a fait sa toute première rentrée des classes, à la maternelle de notre quartier. J'en avais déjà parlé dans un précédent...
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L'héritage du communisme.
Même s'il peut tout à fait se lire indépendamment, cet article fait suite à « protocole du chaos ». A l'été 2003, une quinzaine de jours après avoir démissionné de chez Monsieur Cao, j'ai décroché un travail au sein de l'entreprise de Monsieur Li. Enfin,...
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Protocole du chaos.
J'ai embauché dans la société de Monsieur Cao dès mon arrivée en Chine, fin février 2003. J'y nourrissais des objectifs nobles de réussite professionnelle sur le long terme. Deux mois et demi plus tard, j’en claquais la porte. Monsieur Cao est un chinois...
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Mère courage.
Je ne suis pas du genre à faire des compliments. C'est encore plus vrai depuis que je vis en Chine, où la réussite donne la grosse tête : autant ne pas faire enfler encore plus celle des indigents de la modestie. Qui plus est ça oblige à changer de taille...
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Encore une journée banale au bureau.
Il y a cinq ou six ans, pour le compte de Onesource, la société que j'ai fondée en Chine, je me déplaçais régulièrement à Nantong, ville léchant les berges du Yangzi Jiang, et j'y visitais une usine de textile pour y assurer le suivi d’une production...
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Des pandas et des livres.
Un dicton chinois clame qu'il faut vivre à Hangzhou, manger à Guangzhou, se marier à Suzhou, et mourir à Luizhou. Je ne sais pas pour les trois autres, mais pour ce qui est de Suzhou, force est de constater que les filles y sont exceptionnelles. Parmi...
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L'auto, le resto, et l'inconscience consensuelle.
Aujourd'hui j'ai deux anecdotes sans le moindre intérêt à vous raconter. Ce sont deux micro événements sans avènement, sans aucune morale finale, et qui plus est barbants au possible, comme une fête solitaire, une sortie sans ivresse, un nuit sans cul....
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Tout feu, tout FLAM.
Je me rends compte que je parle souvent de « P'tits Pandas », l'école FLAM de Suzhou. Pourtant c'est mon blog, j'en suis l'unique sujet central, et mon but est d'exhiber mes névroses à tous les passants, sous couvert du panégyrique d'un quotidien extraordinaire...
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Fukushima, mon amour.
Hier, Caili devait passer à la banque. Comme du fait d'une intoxication alimentaire, je n'ai pas pu sortir de l'appartement pendant vingt-quatre heures, j'ai voulu l'accompagner. C'est à l'approche jouissive de ce genre de perspective beauf qu'on voit...
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Le spectre de Fantômas.
L'été du cinéma, première partie. L'été dernier a vraiment été pour moi l'été du cinéma. Certes, pour un cinéphage taré comme moi, tous les étés sont ceux du cinéma. Les hivers aussi. Ces quarante-deux dernières années ont été, pour moi, les années du...
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To beer or not to beer.
Cela fait quelques temps que je voulais évoquer une rue traditionnelle assez sympa de Suzhou, à savoir Pingjiang Lu. Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas écris : je n'aime pas spécialement Pingjiang Lu, et ne vous vanterez pas son exotisme. Je n'ai...
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Passage à vide.
Aujourd'hui je vais vous parler de demain, en évoquant hier. En fait toute l'assommante diatribe qui suit est la conséquence de commentaires et messages privés -qui remontent - d'un tas de lecteurs très sympas que je ne citerais pas par peur d'en oublier,...
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L'expat est mort : vive l'expat !
Ceux qui me connaissent connaissent aussi le blog de l'expat qui officiait depuis 2006 et que je n'ai plus remis à jour depuis un an. Les raisons en sont multiples, et comme j'adore parler de moi, permettez-moi de développer tout cela : Pour commencer,...
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On se retrouve après une courte page de publicité.
J'aime bien les gens dynamiques, ceux qui prennent des initiatives pour bâtir des choses nouvelles, et encore plus si c'est dans une démarche communautaire. Alors évidemment, j'aime bien Delphine, Marie-Laure, Églantine, Hui Hui et Hélène -j'espère n'avoir...
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Le cœur au bord des lèvres.
J'aime bien me promener dans les rues de Suzhou. C'est souvent surpeuplé, et il faut parfois s'enfermer dans sa bulle pour éviter la crise de spasmophilie, quand ce n'est pas jouer des coudes pour éviter l'étouffement. Mais à peser le pour et le contre,...